On peut être généreux d’innombrables manières : faire un cadeau exceptionnel à ses enfants, transporter un voisin âgé à l’hôpital, faire un don suite à une catastrophe humanitaire, acheter du chocolat pour soutenir une association, payer pour des animations dans le cadre d’une fancy-fair participer à une soirée de mécènes, mettre ses compétences à la disposition d’un comité de parents, assurer une permanence pour un Groupement d’Achat Solidaire, participer à l’animation d’un quartier ou d’une paroisse, visiter des malades, des personnes âgées ou des détenu(e)s, etc. On peut aussi l’être plus ou moins dans la manière d’exercer son métier.
On peut, classiquement, catégoriser ces actes de générosité en deux grandes typologies:
1) La première s’intéresse aux personnes qui en bénéficient:
– les proches (famille et amis)
– les autres
2) La seconde s’intéresse à la ressource mobilisée:
– donner du temps
– donner de l’argent
– mettre à disposition des biens et/ou services (par ex : prêter un local).
La présente contribution de l’Institut pour un Développement Durable s’intéresse plus particulièrement aux dons en argent et en temps en faveur des « autres ».
Philippe Defeyt